Le cœur, organe vital mais complexe souvent en compétition avec le cerveau. Nos émotions, nos sentiments, peuvent nous faire décoller dans les nuages comme nous donner envie de nous terrer dans un trou de souris. Si le cœur a ses raisons que la raison ignore, Stéphanie, elle, est là pour nous aider à y voir plus clair et nous accompagner pour vivre au mieux nos relations.
Un métier qui lui va comme un gant
Stéphanie est une jeune femme bien dans ses baskets, éprise d’amour pour sa moitié et ses trois filles. Très curieuse, aimant apprendre et investie dans tout ce qu’elle entreprend, elle a commencé sa carrière professionnelle en tant que cadre dans la grande distribution. Passionnée de psychologie depuis l’adolescence, c’est LE fil rouge qui la suit depuis ses débuts. Dotée d’un talent d’écoute, d’empathie et de bienveillance, elle aime observer et analyser.
C’est durant le confinement qu’elle a pris un nouveau virage professionnel pour devenir thérapeute de couple et sexothérapeute. Stéphanie a commencé par une formation de coach conjugal, puis de sexothérapeute, de PNL et actuellement achève une formation de psychopraticienne.
Amoureuse de l’amour et croyant au prince charmant, elle a choisi d’aider TOUS les couples, peu importe les orientations et (non) genres, il y a toujours une histoire d’amour. Malheureusement, la routine du quotidien étouffe souvent la relation et on passe de vie de couple à vie de colocataires. On se perd de vue, on ne se connaît plus, on ne sait plus se parler, communiquer et ça se répercute sur le travail et les enfants.
Son combat au quotidien : les violences conjugales
Une problématique, et pas des moindres, lui tient particulièrement à cœur. Celui des violences conjugales. Qu'elles soient physiques, psychologiques ou financières, ces violences ne cessent d’augmenter et Stéphanie a fait le choix d’en faire une spécialité.
Il faut beaucoup de courage pour se sortir de cette emprise. C’est une réelle épreuve et un long combat qui demande d’être soutenu. C’est là que Stéphanie intervient. Elle travaille avec Maître Julien PLOUTON, avocat à Bordeaux spécialisé lui aussi dans les violences en tout genre. Ensemble, ils accompagnent les victimes de A à Z. Elle travaille également avec les gendarmeries de Macau et de St Médard en Jalles qui possèdent un service spécialisé dans les violences.
Elle-même victime de ce fléau, Stéphanie a réussi à s’en sortir. Elle se sert aujourd’hui de son expérience pour en créer une compétence et pouvoir être là pour les victimes.
Malheureusement, encore trop de victimes de violences conjugales, hommes et femmes, n'osent pas consulter parce qu’elles ne se l’accordent pas. Stéphanie est présente pour accompagner, écouter, les comprendre. On peut parler, anticiper, mais l’action doit venir des victimes, quand elles se sentent prêtes. C’est aussi la complexité de ce combat. En tant que thérapeute, accompagnant, il faut savoir garder ses distances et mettre des limites.
Le cœur n’a pas d’âge, de statut, de religion
De 18 à 99 ans, voire plus, tout le monde peut faire appel à Stéphanie à partir du moment où on a l’impression qu’il y a un problème relationnel. A savoir que Stéphanie ne travaille pas que pour le couple, mais pour chaque individu.
En couple, Stéphanie vous guidera pour vous retrouver. Retrouver une complicité, un dialogue, à comprendre l’autre, à s’accorder.
Elle peut également vous aider à surmonter une séparation, un divorce, vous guider dans la manière d’annoncer la nouvelle aux enfants, de trouver la façon de cohabiter ensemble en étant séparés. Célibataire, elle peut vous éclairer sur vos relations afin de ne pas reproduire toujours les mêmes schémas.
Stéphanie peut également accompagner sur tout ce qui concerne la sexualité (baisse/perte de libido, addiction sexuelle, parentalité, crise de couple, conflit, infidélité…).
Déroulement d’une séance
Stéphanie a ouvert son cabinet au Taillan Médoc il y a 2 ans, et ouvre à la rentrée prochaine, une permanence à Parempuyre au sein de la Dynam’o Academy. Elle ne fait pas de domicile et ne reçoit qu’à son cabinet afin d’être en territoire neutre. Les premières séances durent généralement 1h30. Cela permet de faire un état des lieux de la situation.
Il n’est pas obligatoire de faire une thérapie à deux. Le simple fait de verbaliser peut apaiser. Avoir une tierce personne avec un regard extérieur permet de trouver une approche différente.
L’union fait la force
Soucieuse d’apporter le meilleur aux personnes qui viennent la voir, elle sait s'entourer de professionnels en accord avec ses objectifs, sa vision et ses valeurs. Elle fait partie du Collectif Therapy*, une association mettant en relation des praticien(ne)s thérapeutes professionnel(le)s avec des personnes à la recherche de thérapies alternatives et de médecines douces. Grâce à cette équipe, elle peut conseiller et diriger les personnes, suivant leur problématique, vers des thérapeutes de qualités formés, certifiés et recommandés tout en bénéficiant d’avantages tarifaires sur les séances.
Le collectif est composé uniquement de personnes de confiance :
Contact
Téléphone : 06 52 76 79 69
Par Lydia Besse
Photo fournie par Stéphanie Fernandes
*Remarque de la rédaction : les thérapies dites complémentaires ou alternatives ne se substituent pas à un traitement médical. Veuillez consulter un médecin en cas de symptômes. Certaines pratiques sont incompatibles avec des maladies et/ou conditions physiques ; quelques-unes sont proscrites pour les jeunes enfants.